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vies antérieures

 

Un peu d’histoire…

 

Croire ou pas en la réincarnation? ll ne s’agit pas ici d’en débattre, ni de se référer à une quelconque religion. Mais d’observer, de manière empirique, ce que médecins, thérapeutes et chercheurs ont expérimenté depuis les années 50, d’abord dans les pays anglo-saxons, puis dans les pays francophones.

Le premier cas connu de basculement spontané dans une vie antérieure en état d’hypnose a été révélé aux Etats-Unis en 1952, le cas Bridey Murphy.

En 1960, un psychiatre britannique, Dr Denys Kelsey, et sa femme mènent une étude formelle sur le sujet et publient un ouvrage qui marque les débuts de ce que l’on appellera l’hypnose spirituelle.

Dans les années 70, l’engouement pour les vies antérieures décolle aux Etats-Unis et plusieurs études sont publiées, comme celles du Dr Helen Wambach. Les travaux d’Elizabeth Kubler-Ross sur la mort et les expériences de mort imminente alimentent aussi le sujet.

A ce jour, médecins, chercheurs et thérapeutes ont accumulé des dizaines de milliers de témoignages de régressions dans des vies antérieures. Des personnes qui se sont rappelées ce qui semble être des mémoires d’autres existences, dans d’autres temps, dans d’autres lieux. Ces personnes ont retracé des événements chargés souvent d’une grande intensité émotionnelle.

Mythe ou réalité des vies antérieures? Force est de constater que la plupart de ces voyageurs du temps ont bénéficié, à la suite de cette expérience, d’un mieux être physique et moral. C’est l’intérêt majeur de la régression dans une vie antérieure: son impact thérapeutique. Cette expérience est capable de résoudre des conflits et des problèmes émotionnels ou physiques en moins de séances qu’avec des thérapies classiques.